L’étude d’un ingénieur belge avait démontré le rapport direct entre le rendement et la qualité de la pose de panneaux photovoltaïques. Une étude du CSTC sur leur manutention vient l’appuyer, ciblant les panneaux cristallins.

Que faut-il craindre ?

Stockage, transport, pose sont autant d’étapes où les panneaux photovoltaïques sont manipulés et subissent des tensions. Il leur arrive de tomber, d’être heurtés, ... le vitrage se fend, ils sont déclassés.

Tous les panneaux mis en œuvre sont visuellement intacts. Un client refuserait d’office un panneau abimé. Pourtant peut-il être certain que toutes les manipulations subies par ses panneaux n’ont pas occasionné de dégâts ?

Pas du tout. C’est ce que le CSTC met en évidence : les panneaux souffrent de dommages invisibles à l’œil nu mais révélés, entre autres, par électroluminescence.

Ces désordres altéreront plus ou moins rapidement le rendement. En conséquence, le CTSC donne tout une série de conseils pour la pose, la manutention et l’entretien.

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Sources :
- « Technologies & Applications : Analyse de la performance de 1000 systèmes photovoltaïques en Belgique en 2010 », Renouvelle n° 37, octobre 2011, page 7, apere.org
- ‘CT Couvertures - Manutention des capteurs photovoltaïques cristallins’, X. Kuborn, ir., laboratoire Chauffage (CSTC) et S. Peeters (Eliosys), CSTC-Contact 2013/4, page 7, cstc.be

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