
Source : A. Pagnoux
Un deuxième éco-projet voit le jour : l’ensemble Jules Ferry, 26 logements en collectif livrés fin 2013. Mêmes acteurs, même objectif, un résultat autre.
Pourquoi ?
La différence de typologie et, surtout, l’évolution des mentalités.
Toujours à la recherche de charges minimales pour les locataires, Le Toit Vosgien souhaite cette fois un bâtiment à énergie positive. Architecte et thermicien lui démontrent qu’il n’a aucune maîtrise sur les consommations individuelles des locataires. De ce point de vue, vouloir équilibrer par l’installation de panneaux photovoltaïques n’est pas non plus rentable. Il vaut mieux concentrer son effort pour « juguler les dépenses énergétiques plutôt que les compenser ».