• Plus jamais de problèmes d’humidité dus à la condensation dans les parois

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    Quelle est la différence entre l’étanchéité à la vapeur et l’étanchéité à l’air ? Pourquoi faut-il prévoir un pare-vapeur dans une paroi à ossature en bois et non dans un mur creux ? Et pourquoi les exigences relatives au pare-vapeur sont-elles plus strictes pour une toiture plate que pour une toiture à versants ? Vous trouverez les réponses à ces questions dans cet article.

  • Plus-value des matériaux d’isolation biosourcés sur le plan acoustique

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    On vante souvent les propriétés écologiques, hygrothermiques et acoustiques des matériaux d’isolation biosourcés. Une campagne de mesures comparatives menée sur des parois à ossature en bois a révélé que les variantes souples et poreuses de ces matériaux constituaient une bonne alternative à la laine minérale, par exemple. En revanche, il s’est avéré que remplir la cavité de ces parois à l’aide de matériaux rigides en vrac ou de panneaux d’isolation pouvait fortement affecter l’isolation acoustique. Quoi qu’il en soit, les performances acoustiques de la paroi tout entière ne sont pas uniquement déterminées par le remplissage de la cavité…

  • Portes résistant au feu : les classes belges Rf, obsolètes ?

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    Depuis le 1er juillet 2022, les portes portant les classes belges Rf ½h ou Rf 1h ne peuvent plus être installées dans les nouveaux bâtiments. Elles doivent dorénavant être conformes à la classification européenne. Il faut toutefois rester vigilant, car toutes les classes européennes ne sont pas acceptées dans notre pays. Ainsi, seules les portes portant les classes européennes EI1 30, EI1 60 ou EI1 120 peuvent être installées dans les nouveaux bâtiments !

  • Pose de fenêtres en bois dans les murs creux

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    Poser les menuiseries extérieures avant de réaliser le revêtement de façade devient une pratique courante. Bien que cette technique présente de nombreux avantages, le menuisier doit veiller à certains aspects : assurer l’étanchéité à l’air du précadre, protéger la partie supérieure et les côtés de ce dernier au moyen d’une barrière d’étanchéité à l’eau et, pour des raisons thermiques, respecter la longueur de contact minimale entre le précadre et le châssis.

  • Pose menuiseries et vitrages

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    Gardez une longueur d'avance en tant que menuisier grâce aux nouvelles directives de pose de nos Notes d’information technique (NIT) 286 et 288, qui reprennent les toutes dernières exigences en matière d'enveloppe du bâtiment. Des aspects généraux aux fiches de détails techniques spécifiques pour les châssis en bois, en PVC et en aluminium, nous avons pensé à tout !

    Pour un aperçu complet, consultez notre site.

  • Postisolation des murs creux : maîtrise des risques d’infiltration

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    Voilà déjà une dizaine d’années que le cadre de qualité relatif à la postisolation des murs creux a été mis sur pied. Celui-ci s’appuie sur un bon exemple de complémentarité entre les spécifications techniques STS 71-1 et la NIT 246. L’expérience acquise confirme que la maîtrise des risques d’infiltration contribue à la réussite d’un projet. Le Comité technique ‘Travaux de plafonnage, de jointoyage et de façade’ suit la situation de près, en concertation avec BCCA.

  • Pour en savoir plus sur les appareils antitartre

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    Les installateurs sanitaires sont de plus en plus souvent sollicités par les maîtres d’ouvrage pour placer un appareil antitartre dans le but de contrer les désagréments engendrés par la formation de tartre dans leur installation et en dehors de celle-ci. Cet article répond à quelques questions récurrentes en la matière.

  • Pourquoi appliquer l’enduit intérieur avant l’ETICS ?

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    On demande régulièrement aux collaborateurs de la division ‘Avis techniques et consultance’ du CSTC quel est l’ordre approprié pour l’exécution des travaux intérieurs humides (application d’un enduit à base de plâtre, coulage de la chape,...) et la pose d’un ETICS. Que disent les documents de référence à ce sujet et quels sont les facteurs d’influence ?

  • Pourquoi faut-il aujourd’hui que les bâtiments soient intelligents ?

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    Le secteur de la construction connaît actuellement une véritable révolution numérique. Les nouvelles technologies peuvent en effet se révéler utiles pendant les phases de conception et de construction d’un bâtiment, mais également durant sa phase d’utilisation. Elles offrent des avantages aussi bien aux utilisateurs et aux gestionnaires du bâtiment qu’aux professionnels de la construction. Néanmoins, ces derniers ne voient pas toujours très bien les possibilités que peut représenter cette numérisation. 

  • Prévenir la fissuration des murs de cave en béton par une exécution appropriée

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    L’armature des ouvrages en béton est indispensable pour limiter la fissuration au jeune âge du béton soumis au retrait ou à des variations de température. Ceci est d’autant plus essentiel pour les murs de cave, lesquels doivent respecter des exigences d’étanchéité strictes pour ne compromettre ni l’utilisation du bâtiment ni sa durabilité (voir l’article Buildwise 2023/02.02).

  • Principes de base pour le calcul de la charge thermique

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    La charge thermique d’une installation de chauffage doit être correctement calculée si l’on souhaite que celle-ci soit performante. L’installateur doit informer le maître d’ouvrage des performances qu’il peut attendre de son installation et tous deux doivent établir de commun accord une liste de principes de base.

  • Priorité au séchage des bâtiments détrempés !

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    Notre pays et la Région wallonne en particulier ont été durement touchés par les inondations du mois de juillet. Outre les pertes humaines très lourdes, on ne dénombre pas moins de 30.000 bâtiments partiellement ou totalement sinistrés. Heureusement, un formidable élan de solidarité s’est manifesté à travers tout le pays et, malgré les périodes de congé, les entreprises de construction y ont participé massivement. 

  • Produire de l’ECS à 60 °C : est-ce nécessaire pour empêcher le développement des légionelles ?

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    D’après une récente étude du CSTC, il n’est pas facile de contrôler le développement des légionelles dans une installation sanitaire lorsque la température de production de l’eau chaude sanitaire (ECS) est abaissée à 45 °C. En Flandre, les exigences actuelles figurant dans les Best Beschikbare Technieken Legionella, à savoir une production à 60 °C et une température de minimum 55 °C dans les conduites de retour, semblent suffisamment sûres pour garantir la qualité hygiénique de l’eau. 

  • Protection incendie : quid des conduites raccordées à une trémie ?

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    Le CSTC a pu démontrer que lorsque des conduites traversant les parois d’une trémie (gaine technique) sont protégées par une chape et qu’elles sont en contact avec une sous-chape isolante combustible en polyuréthane projeté, elles n’entraînent pas la propagation de l’incendie. Certaines conditions sont toutefois à respecter.

  • Protection incendie : quid des conduites raccordées à une trémie ?

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    Le CSTC a pu démontrer que lorsque des conduites traversant les parois d’une trémie (gaine technique) sont protégées par une chape et qu’elles sont en contact avec une sous-chape isolante combustible en polyuréthane projeté, elles n’entraînent pas la propagation de l’incendie. Certaines conditions sont toutefois à respecter.

  • Quand la technologie peut sauver des vies …

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    De nombreuses innovations en matière de technologies numériques contribuent de manière significative à limiter ou à monitorer les risques liés à la stabilité d’un petit bâtiment, que ce soit dès sa phase de conception ou durant sa mise en œuvre, voire son exploitation.

  • Quel traitement prévoir avant d’appliquer un enduit au plâtre sur des blocs-treillis ?

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    Les documents de référence relatifs à la mise en œuvre des enduits intérieurs – à savoir la norme NBN EN 13914-2 et les NIT 199 et 201 – recommandent l’application d’un traitement préalable en fonction de l’absorption d’eau du support. Les informations à cet égard font toutefois défaut dans les fiches techniques des blocs de construction de type treillis (blocs snelbouw), car aucune déclaration n’est obligatoire. Or, un prétraitement peut s’avérer nécessaire dans ce contexte également. 

  • Quelles charges prendre en compte lors de travaux de rénovation ?

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    La rénovation structurale de petites et moyennes constructions entraîne diverses charges, que ce soit lors de la démolition, de l’exécution des travaux ou de l’utilisation finale du bâtiment rénové. Quelles sont ces charges et quelles précautions prendre à leur égard ?

  • Quelles interventions post-inondation sur une structure en bois ?

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    Les inondations des dernières semaines ont eu de lourds impacts dans notre pays. Afin d’assurer la pérennité des bâtiments et de préserver la santé de leurs occupants, il convient d’assécher au plus vite les structures et, au besoin, de remplacer les isolants. Cette étape est cruciale dans le cas d’une structure en bois. 

  • Quelles maçonneries de briques peuvent être peintes ?

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    Le CSTC mène actuellement un projet de recherche visant à aider les entrepreneurs confrontés au décollement de peintures appliquées sur des maçonneries de briques. Les premiers résultats montrent qu’une attention particulière doit être accordée à la surface des briques et plus particulièrement à leur absorption. Dans certains cas, une vérification préalable de l’adhérence du système de peinture sélectionné peut également s’avérer utile.